Maceio – croisière transatlantique

Sur Maceio, nous ne serons pas de très bons tuyaux touristiques… Pour notre part, nous nous sommes contentés de la navette pour aller dans le centre-ville.

La vue depuis la cabine :

Maceio Brésil croisièreMaceio Brésil croisière

Depuis l’autre bord du bateau :

Maceio Brésil croisière Maceio Brésil croisière

D’après nos notes d’avant départ, les plages de Maceio sont très réputées, et la route côtière qui part vers le nord aussi. Il semble qu’à marée basse, les pêcheurs puissent emmener les touristes sur les bancs de sable de la lagune dans leurs jandagas (radeaux à balancier). En décembre, le Festival de la Mer attire des foules de touristes. Maceio compte 880 000 habitants, elle aurait été fondée en 1815, suite à l’exploitation de la canne à sucre alentour. Elle est la capitale de l’Alagoas. Les édifices réputés de la ville sont le musée d’art Fundaçao Pierre Chalita, église Bom Jesus dos Martirios et la Catedral de Nossa Senhora dos Prazeras.

Pour revenir à nos aventures, avant de parvenir au centre-ville, nous avons commencé par nous tromper de navette ! Nous sommes montés dans la navette gratuite organisée par les autorités portuaires pour s’éviter les touristes divagant dans le port. Nous avons été quittes pour faire le chemin en sens inverse, dans un vieux bus, fenêtre ouverte, avec un chauffeur kamikaze : notre meilleur souvenir de Maceio !

Maceio Brésil croisière

Puis nous avons pris la navette MSC vers le centre-ville, cette fois dans un beau bus climatisé nettement moins rigolo. Nous sommes alors arrivés dans un grand magasin d' »artisanat local », puis nous avons pu nous promener le long de la plage. Plus ou moins agréable…mais joli.

Maceio Brésil croisière

Maceio Brésil croisièreMaceio Brésil croisièreMaceio Brésil croisière

Petite surprise bien sympathique : des dauphins dans le port ! Nous en avons compté 6, et nous avons pu les admirer pendant une bonne demie-heure. Nous avons de belles vidéos.

Maceio Brésil croisière

Sur le port, nous avons remarqué un chantier où Geo, dubitatif, a observé les ouvriers et remarqué : « il y a beaucoup de trop de monde qui circule sur ce chantier…et il semble que personne ne travaille ! ». Il avait bien envie de descendre y mettre bon ordre !